De la ville à la Campagne
Modérateurs : Philippe Cousyn, Tibrus, Patrice, Arnaud Guyon
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ex membre1
- Jacquemin
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De la ville à la Campagne
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Jean CUYNET
- Moustache
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De la ville à la Campagne
Dans cet article du n° 512 présentant un réseau tour de pièce avec deux gare et voie unique, une manoeuvre essez complexe est proposée. Mais il y a un petit problème : la manoeuvre est réalisable cependant (il y a toujours un cependant dans les réglements des chemins de fer) tout n'est pas parfait.
En rédigeant l'article, j'ai donné rendez-vous sur le forum aux lecteurs dont la perspicacité légendaire est bien connue. Je m'étonne que personne ne se soit exclamé : c'est élémentaire, voici ce qu'il fallait faire !
En rédigeant l'article, j'ai donné rendez-vous sur le forum aux lecteurs dont la perspicacité légendaire est bien connue. Je m'étonne que personne ne se soit exclamé : c'est élémentaire, voici ce qu'il fallait faire !
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Jean CUYNET
- Moustache
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De la ville à la Campagne
Devant cette avalanche de réponses, je me dois d'apporter la solution à cette question angoissante : où est le problème ?
Bon, la manoeuvre est faisable mais pendant les opérations concernant le trafic marchandises, il est noté qu'un autorail continue à faire son service. Rien ne s'oppose à ce qu'il franchisse la gare en passant soit directement sur voie 1, soit en empruntant les voies 1 et 14.
Cet autorail s'arrête en gare pour laisser et prendre des voyageurs. Les pauvres, en l'absence de passage souterrain, peu probable sur cette ligne, comment font-ils pour traverser les voies ? Devant le BV, deux, trois ou cinq wagons obstruent le passage planchéié qui donne accès au quai 2. Que faire ? Déplacer le passage planchéié qui par tradition est juste en face du BV ? En placer un second au bout du quai ? Il y a une méthode plus simple : Dans la zone où les wagons stationnent, les voies 1 et 14 sont interchangeables. Il suffit de laisser les wagons voie 1 ce qui dégage la voie 14 et permet à l'autorail de s'arrêter juste en face du BV. L'occupation simultanée des voies 1 et 14 interdisant le passage de l'autorail est la même dans les deux cas. Lors de ces phases de manoeuvres, il est évident que cet aurorail est sur une autre partie du réseau.
Trop compliqué, inutile, sans intérêt ? Quelle est la finalité d'un réseau ? L'exploitation. Nous exigeons des constructeurs des modèles de plus en plus conformes, la qualité des réalisations s'accroît. Quel plaisir y a t-il à voir ses trains bêtement tourner en rond ? Après avoir sué sang et eau pour construire un beau réseau calqué sur la réalité et rassemblé du matériel roulant conforme, il n'y a pas de plus grande satisfaction que de faire fonctionner le tout "comme pour de vrai".
Nos collègues américains sont renommés pour savoir le faire. N'en serions-nous pas capables ?
Bon, la manoeuvre est faisable mais pendant les opérations concernant le trafic marchandises, il est noté qu'un autorail continue à faire son service. Rien ne s'oppose à ce qu'il franchisse la gare en passant soit directement sur voie 1, soit en empruntant les voies 1 et 14.
Cet autorail s'arrête en gare pour laisser et prendre des voyageurs. Les pauvres, en l'absence de passage souterrain, peu probable sur cette ligne, comment font-ils pour traverser les voies ? Devant le BV, deux, trois ou cinq wagons obstruent le passage planchéié qui donne accès au quai 2. Que faire ? Déplacer le passage planchéié qui par tradition est juste en face du BV ? En placer un second au bout du quai ? Il y a une méthode plus simple : Dans la zone où les wagons stationnent, les voies 1 et 14 sont interchangeables. Il suffit de laisser les wagons voie 1 ce qui dégage la voie 14 et permet à l'autorail de s'arrêter juste en face du BV. L'occupation simultanée des voies 1 et 14 interdisant le passage de l'autorail est la même dans les deux cas. Lors de ces phases de manoeuvres, il est évident que cet aurorail est sur une autre partie du réseau.
Trop compliqué, inutile, sans intérêt ? Quelle est la finalité d'un réseau ? L'exploitation. Nous exigeons des constructeurs des modèles de plus en plus conformes, la qualité des réalisations s'accroît. Quel plaisir y a t-il à voir ses trains bêtement tourner en rond ? Après avoir sué sang et eau pour construire un beau réseau calqué sur la réalité et rassemblé du matériel roulant conforme, il n'y a pas de plus grande satisfaction que de faire fonctionner le tout "comme pour de vrai".
Nos collègues américains sont renommés pour savoir le faire. N'en serions-nous pas capables ?
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ex membre1
- Jacquemin
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De la ville à la Campagne
Il n'y a peut-être tout simplement pas de volonté d'arriver à une telle finalité.Jean CUYNET a écrit :Nos collègues américains sont renommés pour savoir le faire. N'en serions-nous pas capables ?
Chacun organise son réseau comme il le désire et y fait circuler ce qu'il veut.
En parlant de reproduction de la réalité, je suis persuadé que si l'examen théorique de circulation ferroviaire (l'équivalent du code de la route) était proposé à des modélistes (hors professionnels du CF réel) les résultats seraient assez surprenants.
De même au niveau réalisme des réseaux, je suis persuadé que si des parties de décors étaient examinées par des professionnels du secteur concerné (agriculteurs pour une ferme, salariés du BTP pour un chantier, etc...) il y aurait de nombreuses surprises.
Le fait qu'il y ait des articles proposés par des professionnels ou des spécialistes d'un domaine précis pour parfaire les décors ne serait pas inutile.
