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Que peut-on envisager comme voitures de trains de banlieue et chez quelle marque pour la période 1960-1970?

Pour avoir fait le tour, je pense être obligé de faire avec les voitures De Massini en attendant qu'un constructeur se penche sur le sujet...

Si quelqu'un a un tuyau je suis preneur.

Cordialement.

Pierre

dalmuche a écrit :Que peut-on envisager comme voitures de trains de banlieue et chez quelle marque pour la période 1960-1970?

Pour avoir fait le tour, je pense être obligé de faire avec les voitures De Massini en attendant qu'un constructeur se penche sur le sujet...

Si quelqu'un a un tuyau je suis preneur.

Cordialement.

Pierre

Bonsoir,

Pour les rames de Banlieue Nord entre 1960 / 70 :
- Voitures Banlieue Nord , RMA ( Fulgurex ou Lemaco ? )
- RIB , Lima
- Voitures Talbot ( quelques rames) Le tout tracté par des 141 TC ou , et 16500

Ca dépend où précisément, banlieue de Paris, de Lille, ou ailleurs?

Banlieue parisienne.

Et pout les Massimi, penses à acheter des essieux de rechange.

Massimi, le réalisateur de docs télé ?

Pourquoi acheter des essieux de rechange pour les voitures Massimi? Sachant que les modules que je suis en train d'élaborer sont faits avec de la voie Peco en code 100 (compte tenu du fait que certaines de mes locos ont un certain age!). Compte tenu du prix de ces voitures, j'ose croire qu'elles sont opérationnelles dès la sortie de boite...

Cordialement.

Pierre

Bonsoir,

Je confirme : les Massini passent très bien sur la voie (et les aiguilles) Peco code 100, même en courbe serrée.

Bonsoir,
On ne peu pas considérer les voitures Romilly comme voitures de banlieue,elles n'assuraient pas des services de banlieue,mais de grande banlieue ou express.
Suivant l'époque choisie,mieux vaut des voitures Talbot AS, banlieues Nord du RMA ou accessoirement (a modifier) des banlieues EST Hornby acho.
plus près de nous,les RIB Lima,les VB2n Vitrain.
pascal

En terme de physionomie, pour être tractées par des vapeurs ou des diésels, les voitures Massimi seraient celles qui s'approcheraient le plus de celles que j'ai connu sur le réseau est-parisien quand j'étais gamin (liaison Chelles-Paris) ; les RMA sont hors de prix, les Lima introuvables et les voitures à 2 niveaux trop modernes...Il faudrait que Jouef ressortent les anciennes Bug inox...

Cdt.

Pierre

De Massini !!!!!

Oui, RCS France De Massini (c'est le fabriquant; en fait ce sont des voitures Romilly); elles sont vendues par 4 environ 135 €; André Gay, sur son site, en a fait l'essai il y a peu et a évoqué la pose des pièces de détaillage. Je trouve assez paradoxale qu'on ne puisse pas trouver de voitures de l'époque vapeur-diésel pour des dessertes banlieue ou des liaisons régionales courtes; est-on obligé de s'orienter sur du Picasso ou de l'ABJ?

Aujourd'hui, la plus grosse production en matériel roulant, s'inscrit dans du "très contemporain" (et donc du très long!).

Par ailleurs, je regrette de ne pas voir de 030, 040 (hors la 040 de chez Piko qui fait "jouet") et autres 150 en Locos vapeur abordables (j'ai dit abordables...), même si il y a des 050 chez Fleischmann ou Roco; heureusement, côté Diésels, il y a les 66000 de chez Piko et Jouef; à quand des 62000 et 63000...A priori, ce problème n'existe pas du côté des wagons de marchandises...

La construction modulaire permet de se faire plaisir en attendant de pouvoir monter un réseau; mais allez caser sur 2 modules de 1,50 m de long chacun une 141 avec 6 voitures (voir plus): à 25 cm le morceau, il faut au moins 1,75 m en terme d'encombrement (longueur des quais: 1,80 m)...

If faut reconnaître qu'aujourd'hui l'offre en matériel roulant ancien (époque vapeur, début du diésel) et un peu limitée (sauf à se lancer dans du kit laiton...); c'est un peu dommage...

Cordialement.

Pierre

Les rames de Banlieue Nord, étaient de 8 Voitures !!! + La loco qui pouvait être une 242 TA ( ex PLM ) sur Paris-Aulnay-Mitry-Crépy en Valois jusqu'en 1963.

Morvan a écrit :De Massini !!!!!

Y-en a au moins un qui suit !

Pour mémoire, RCS de Masini, fondé par les parents de l'actuel gestionnaire, avait la particularité, en tant qu'importateur Fleischmann pour la France, de pratiquer le refus de vente aux détaillants qui faisaient du discount (LNB et Locomotiv par exemple). Seul Clarel parvenait à grapiller quelques francs.